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L’équipe de Regard urbain s’arrête à l’entreprise de recherche pharmaceutique Diex Recherche de SherbrookeCliquez ici pour visionner le vidéo.Le virus silencieux que les femmes doivent connaitre

 

 

On peut à peine apercevoir sa présence. Un peu de fièvre, de douleurs musculaires et de maux de tête, on le confond parfois même avec un état grippal.

Desfois, on ne s’aperçoit pas qu’il est présent.

60 à 90 % des gens ont une infection latente qui peut être réactivée au cours de leurs vie. Chez une personne qui est en bonne santé, il ne cause aucun symptôme.

Le cytomégalovirus aussi appelé CMV, est un virus de la famille des herpes virus. Sa contamination se fait de différentes façons, par la salive, l’urine, et aussi d’autres fluides corporels. Une majorité de femmes enceintes ont eu une infection au cytomégalovirus lors de leur enfance. Ces femmes peuvent avoir une réactivation du virus pendant la grossesse et le transmettre au fœtus. Pour les futures mamans séronégatives, c’est-à-dire qui n’ont pas le virus, le contracter représente un danger

Le cytomégalovirus est l’une des premières causes virales

de malformations et d’handicaps chez les bébés.

Il peut aussi entrainer un retard de

développement ou une surdité.

 

Communiquez avec Diex Recherche pour en savoir davantage

sur ce projet d’étude clinique.

 

Il est important de prévenir les risques de contracter

le cytomégalovirus. Il est souvent transmis par les enfants de 4 ans et moins

Sherbrooke cliquez ici

Victoriaville cliquez ici

Québec cliquez ici

DIEX Recherche fait l’acquisition de la clinique Multi-Soins de QuébecQuébec-16 avril 2018 : Le groupe DIEX annonce l’acquisition de la clinique de recherche Multi-Soins de Québec dans une transaction qui permettra à l’entreprise spécialisée dans la tenue de projets de recherche clinique de consolider et d’élargir son expertise. Cette transaction découle d’une volonté d’implantation accrue dans la région de Québec et d’augmentation de l’efficacité opérationnelle. DIEX recherche et la clinique Multi-Soins partageaient depuis l’automne 2017 les mêmes locaux sur la rue Montmagny. Bien que celles-ci menaient des projets de recherche clinique distincts, les deux entreprises partageaient le même investigateur de recherche, Dr André Fréchette. La clinique Multi-Soins, en opération depuis 2009 et dirigée par Dr André Fréchette, dessert la population du quartier Saint-Vallier non seulement par le biais de projets de recherche, mais également par des services de vaccination voyage et de prélèvements. La clientèle établie de la clinique Multi-Soins pourra continuer à profiter des services de vaccination et de prélèvements au même endroit. Ceux-ci seront assurés par DIEX Recherche à compter du 16 avril. Les projets de recherche en cours seront pris en charge par l’équipe médicale de DIEX Recherche et demeurent sous la responsabilité de Dr. Fréchette. Le suivi et les services offerts aux patient demeurent donc les mêmes pour la clientèle existante.À propos de DIEX RechercheFondée en 2006, DIEX Recherche est une entreprise privée de recherche clinique qui propose ses services aux industries des domaines pharmaceutique et biotechnologique. Veillant d’abord et avant tout au bien-être des participants, l’organisation dirige des études de phases I à IV répondant aux exigences très strictes de ses clients, deux priorités qui lui ont rapidement mérité une réputation des plus enviables au sein des communautés médicales et scientifiques à l’échelle internationale. DIEX Recherche, dont le siège social est situé à Sherbrooke, compte également un centre à Victoriaville et un centre à Québec. L’entreprise québécoise constitue le premier centre de recherche au Canada à obtenir l’accréditation complète AAHRPP (Association for the Accreditation of Human Research Protection Programs).Pour plus d’information :Marie-Soleil Racine Gestionnaire communication et marketing msracine@diex.ca 819-346-2887 poste 303L’endométriose: une maladie chronique qui touche 1 femme sur 10Mars est le mois de la femme et bien que nous tendions à célébrer la réussite et le bonheur au féminin, notre équipe médicale ne pouvait passer à côté d’un sujet qui touche la santé des femmes : l’endométriose. Savez-vous que près de 10 % des femmes souffrent d’endométriose ? Voici un petit aperçu du quotidien de ces femmes qui doivent conjuguer féminité et douleurs au quotidien. L’endométriose : une maladie féminine L’endomètre est le tissu qui tapisse les parois de l’utérus. Ce tissu est renouvelé tout au long du cycle menstruel et évacué au moment des menstruations. Dans le cas des femmes souffrant d’endométriose, ce tissu se loge en dehors de la cavité utérine pouvant ainsi aller se coller à divers organes tels les ovaires, la vessie, les trompes de Fallope, les reins ou encore le côlon. On appelle la formation de ces tissus en dehors de l’utérus, des cellules endométriales. Vivre sa féminité Les règles sont un phénomène typiquement féminin avec lequel la plupart des femmes apprennent à vivre vers l’âge de 12 ans bien qu’elles ne représentent pas la période la plus joyeuse du mois, elles sont généralement assez indolores et ont peu d’impact sur les activités quotidiennes. Par contre, les femmes atteintes d’endométriose vivent une période menstruelle très douloureuse. La douleur ressentie surtout lors des menstruations est presque incalculable. Plusieurs femmes souffrant de cette condition ne sont pas en mesure de travailler, sortir ou effectuer leurs activités quotidiennes durant cette période. Il va sans dire que les relations sexuelles ne sont pas à l’agenda ! L’endométriose est d’ailleurs une des causes importantes d’infertilité chez la femme. En plus des conséquences physiques de cette maladie, les femmes ressentent de l’anxiété, de la fatigue et de l’inquiétude reliée à leurs conditions.Un parcours médical houleux Il n’existe actuellement aucun traitement miracle contre l’endométriose. Selon les symptômes présents chez la femme atteinte et sa volonté d’avoir des enfants, le traitement peut varier. On retrouve des solutions pour contrôler la douleur tel que des anti-inflammatoires ou de la cortisone. On prescrit dans certains cas un traitement contraceptif ou non afin de contrôler la production d’hormones et ainsi réduire les saignements et la douleur. Une intervention assez fréquente est la laparoscopie. Elle consiste à retirer chirurgicalement les tissus endométriales formés sur les organes. À l’aide d’une incision près du nombril, d’une caméra et d’un mini laser, le médecin peut se rendre dans les régions affectées et brûler les tissus. Cette intervention permet à plusieurs femmes de voir leurs douleurs réduire voire disparaître tout en conservant la possibilité d’avoir des enfants. L’hystérectomie ou l’ablation de l’utérus est quant à elle définitive. Elle provoque une ménopause prématurée et bien sûr rend la femme infertile. Cette intervention est utilisée en dernier recours. Ces interventions ne peuvent toutefois pas garantir l’arrêt de l’endométriose. On voit la maladie réapparaître dans près de 21 % des cas.  Une lueur d’espoir ?En ce mois de mars, un projet de recherche vient de débuter sur un traitement expérimental visant à soulager la douleur liée à l’endométriose. Les participantes admissibles seront suivies par une équipe médicale et recevront une compensation pour leurs frais de déplacement.   Vous désirez en savoir plus sur ce projet à Sherbrooke ? Contactez-nous !Vous désirez en savoir plus sur ce projet à Victoriaville ? Contactez-nous !Il n’y aurait pas deux, mais cinq types de diabète

Notre compréhension du diabète serait complètement à revoir : des chercheurs européens affirment qu’il n’existe pas moins de cinq types de diabète, une nouvelle classification qui mènera selon eux à des traitements mieux ciblés. Explications.

Jusqu’à aujourd’hui, la médecine avait identifié deux types de cette maladie causée par l’incapacité de l’organisme à baisser le taux de glucose dans le sang, processus régulé par l’insuline. Il était convenu que la vaste majorité des personnes atteintes présentaient deux profils distincts :Diabète de type 1 : il apparaît dès le jeune âge et est responsable d’environ 10 % des cas. Les cellules qui produisent l’insuline, situées dans le pancréas, sont détruites par le système immunitaire. Les personnes atteintes dépendent donc d’injections quotidiennes d’insuline ou d’une pompe à insuline pour assurer leur survie.Diabète de type 2 : il est causé par des troubles du métabolisme du foie, des muscles et des tissus adipeux. Il est généralement associé aux mauvaises habitudes de vie comme le manque d’exercice, une mauvaise alimentation et l’obésité. Seule une prise de sang permet de déterminer avec certitude sa présence en mesurant la glycémie, soit le taux de glucose (sucre) dans le sang.Une meilleure classificationOr, des chercheurs suédois de (Université Lund) et finlandais (Institut de médecine moléculaire) décrivent dans leurs travaux une réalité beaucoup plus complexe. L’analyse en profondeur du sang de près de 15 000 diabétiques a permis, selon eux, de classer la maladie en cinq groupes distincts.Groupe 1 : il correspond à peu près au diabète de type 1. Il apparaît dans la jeunesse et s’attaque aux cellules qui produisent de l’insuline.Groupe 2 : au départ, l’origine semble être la même que pour le diabète du groupe 1 puisqu’il apparaît chez des jeunes en santé dont le système ne produit pas d’insuline. Ce n’est toutefois pas le système immunitaire qui est en cause.Groupe 3 : ces patients, généralement en surpoids, ont développé une résistance importante à l’insuline. Ils en produisent, mais leur corps n’y répond plus.Groupe 4 : ce diabète est observé chez des personnes obèses, mais dont le métabolisme est beaucoup plus proche de la normale que chez celles du groupe 3.Groupe 5 : il apparaît chez des personnes d’âge moyen, plus vieilles que dans les autres groupes, et il a tendance à être moins grave. Ces nouvelles catégories n’annoncent pas de changements importants immédiats dans le traitement, mais elles auront des retombées à l’avenir.

«Nos résultats sont extrêmement importants. Ils représentent un grand pas vers la médecine de précision.»

4 astuces pour vous aider à survivre à votre asthme durant les hivers québécoisLes hivers québécois sont souvent rigoureux. Bien que l’arrivée du printemps approche à grands pas, notre équipe a jugé bon de vous donner quelques astuces pour mieux contrôler les symptômes de votre asthme.

1. Couvrez-vous chaudement !

Plus vous êtes habillé lorsque vous sortez, mieux vos poumons supporteront le changement de température.

2. Prenez le contrôle sur l’inflammation de vos bronches à l’avance;

Les personnes asthmatiques présentent une inflammation permanente des voies respiratoires. Les crises d’asthme sont déclenchées par une aggravation de cette inflammation. Il est possible de débuter des pompes de corticostéroïdes sous prescription médicale, afin de prévenir cette inflammation supplémentaire et ainsi réduire les risques qu’une crise se déclenche..

3. Lors d’activités physiques en hiver prenez le temps de faire un bon échauffement;

Le fait de s’échauffer avant de débuter un exercice à pleine intensité a le même effet sur les voies respiratoires que sur les muscles. Ils les préparent et les réchauffent progressivement. Une fois échauffé il faut considérer que pour notre corps présente une température de 10 degrés supérieure à la température indiquée au thermostat. Le fait que nos broches soient réchauffées avant de débuter l’exercice à pleine intensité, diminue le risque de crise d’asthme.

4. Procurez-vous un humidificateur;

On le sait: le chauffage assèche l’air durant l’hiver. Afin de bien humidifier vos voies respiratoires pendant la saison critique, le fait de garder un humidificateur allumé pendant la nuit pourrait vous aider.

Vous avez de la difficulté à contrôler votre asthme?

Nous évaluons l’impact d’un capteur de données intégrées aux pompes. Nous tentons d’établir si les données recueillies permettent d’améliorer le contrôle de l’asthme.Asthme à SherbrookeAsthme à Québec

Apprenez-en plus sur nos autres étude en Asthme à VictoriavilleAsthme -Augmentation de symptômes à VictoriavilleAsthme non-contrôlé à VictoriavilleNous vous avons concocté une petite vidéo en ce temps des FêtesPourquoi ne pas la visionner?diex_noel Joyeuses Fêtes 2015!Toute l’équipe de Diex Recherche tenait à souhaiter aux participants et à la population de très joyeuses fêtes! Merci de contribuer à l’avancement de la science et au développement de la recherche clinique au Canada. Nous vous souhaitons beaucoup de bonheur et de la santé pour l’année à venir! Au plaisir de collaborer avec vous en 2016! Pour visionner notre carte des fêtes de cette année, suivez ce lien: Carte des fêtes 2015!Suzie Talbot et Diex Recherche : une femme d’affaire visionnaireParmi plus de 200 candidatures soumises pour le Prix Desjardins Entrepreneurs 2015, Suzie Talbot fut sélectionnée grande gagnante régionale du centre du Québec dans la catégorie Femme d’influence. Présidente-directrice générale de Diex Recherche, c’est grâce à sa motivation, son sens du leadership et son ouverture d’esprit que Diex Recherche jouit d’une réputation d’excellence. Toute l’équipe de Diex est très fière de travailler derrière une femme compétente, dirigeant les activités de la compagnie avec passion. Suzie Talbot fait partie des 29 finalistes qui se réuniront à Montréal le 14 octobre, là où seront annoncées les 10 entreprises méritant le grand prix, celui de gagnants nationaux.        Journal Estrieplus – C’est un départ!C’est avec plaisir que nous vous annonçons que Diex Recherche est le tout nouveau chroniqueur du journal EstriePlus. À toutes les 2 semaines, un nouvel article sera publié sur un sujet touchant la recherche clinique de près ou de loin. Pour ce premier texte, nous traitons de la fibromyalgie avec le Dr.Pierre Arsenault. Pour consulter le lien : Article Fibromyalgie – Une douleur invisible (Partie 1). Bonne lecture et au plaisir de recevoir vos idées pour un prochain sujet!Une vie sauvée par la RechercheLe 9 Juillet dernier à TVA Nouvelles, on entendait l’histoire de Maureen O’Connor dont la vie a été sauvée grâce à la recherche. Un anévrisme de 2,6 cm qui aurait pu rupturer à tout moment et ainsi ne donner que 30 secondes à vivre à la dame a été détecté par l’IRM (imagerie par résonnance magnétique) de l’étude. Cette histoire qui a fait les manchettes n’est pas un cas isolé. Plusieurs personnes participent à un projet de recherche afin de bénéficier d’un suivi médical serré et de tests diagnostiques avancés tel que l’IRM. Ces tests sont gratuits pour les participants et permettent parfois de détecter des maladies graves qui pourront être traitées avant d’être fatales. La recherche permet donc de sauver des vies et d’éviter le pire!